jeudi 28 avril 2011

A propos du Congrès international des sciences historiques de l'été dernier : un bilan tardif

Je passe mon temps, depuis la création de ce blog et de Digital Lugdunum (qui marche au ralenti ces derniers temps, rédaction de mon mémoire oblige), à dire et redire qu'il est du devoir des historiens de mettre en ligne leurs travaux afin que chacun puisse y accéder librement. A mon tour de le faire. 

J'ai dû rédiger, dans le cadre de mes cours à Lyon 2, un bilan du CISH d'Amsterdam. Les plus passionnés d'entre vous savent en effet sans doute que s'est déroulé cet été le 21e Congrès international des sciences historiques. Les plus passionnés, et eux seuls, car le moins qu'on puisse dire, c'est que ledit congrès n'a pas soulevé chez les historiens français un enthousiasme démesuré. A part quelques historiens parisiens proches de l'IEP et réunis autour de JF Sirinelli, seul Roger Chartier semble s'y être intéressé. C'est bien dommage, car le CISH n'a lieu que tous les 5 ans, et l'occasion de dresser le bilan de l'historiographie française et de rencontrer des historiens d'autres horizons ne se représentera qu'en 2015.

Comme mes réflexions ne me semblaient pas trop stupides, j'ai décidé de les publier en ligne. J'aurais pû le faire plus tôt, mais j'attendais que mon professeur me confirme que je ne disais pas complètement n'importe quoi... Bref, ça vaut ce que ça vaut, c'est une réflexion personnelle qui n'engage que moi, et c'est disponible sur Google Documents ICI.

Sur ce, bonne lecture et à bientôt.

Ah oui, si jamais ça ne marche pas, je colle le lien complet :
https://docs.google.com/document/d/1ezOvTXn-4fEI5r1Ic7VlOs_h_rY_bSrDfvtqgaxXqwY/edit?hl=en

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